On croit enterrer tout Soleil
et avec lui
ce qui du sommeil
nous déplie suffisamment
et avec lui les peaux
qui se plissent aux sourires
On croit
parce qu’on a appris
que l’inconcevable devient concevable
que demeurera
la misère du jour
et la pente par le dessus
ne serait que répit
ou fuite
ou illusion
un provisoire qui compte pour si peu
quand se referme l’ombre
On ferait les difficiles
à si peu se contenter du maigre du jour
disent ceux qui droit dans les yeux
nous prient de
Ceux qui des sunlights
prennent les éclats pour argent comptant
On rêve dans les reflets du bol empli
au Grand Réveil
celui des trompettes
celui des lucioles par milliers
même si la tartine tombe bizarre
même si les nouvelles grommellent
Le Grand Réveil des fées
Il en reste des fées et des lucioles, partout…
On ne les entend pas c’est tout…
Merci Jean-Marc
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Merci à toi Barbara. Question de longueur d’onde….
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Magique ! ✨️
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Merci Filipa.
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Des images magnifiques et tellement parlantes ! J’aime beaucoup l’argent comptant des sunlight 🙂 Merci Jean-Marc de ce partage. Bon dimanche
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Merci Marie-Anne pour cette visite. Bon dimanche aussi.
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puisse les fées se réveiller avant le grand fracas
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Puisse… effectivement. Merci Solange !
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