Aujourd’hui les pinceaux me désertent. C’est ainsi.
Le premier d’une série de clips réalisés dans l’immédiat, à partir d’images prises pendant un temps précis (1 heure) à perdre dans un endroit imposé (celui où je me trouve précisément durant cette heure à perdre) parce que je n’ai pas d’autre possibilité d’être ailleurs que là où je suis à cet instant là.
Une déambulation sans intention, sinon celle d’aboutir à la destination suivante.
Le 24 mars 2014, nous sommes au lendemain des élections municipales, qui voient ceux qui ferment les portes, confondent bleu et brun, arrimer leur bâche sur les villes de France.
Et je tue une heure.